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Il y a deux théories pour argumenter avec une femme ; aucune ne marche.

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AuteurMessage
Jesse D. Cassidy
Jesse D. Cassidy

࿏ Socialement incompatible ࿏
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    Féminin

      ☆ COUPS DE FEU : 173
        ☆ AMÉRICAIN DEPUIS : 04/01/2013

        Papiers
        » JUKEBOX: Take the power back - Rage Against the Machine
        » CHEZ MOI : Partout et nulle part à la fois
        » UNE PHRASE: Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

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MessageSujet: Il y a deux théories pour argumenter avec une femme ; aucune ne marche. Il y a deux théories pour argumenter avec une femme ; aucune ne marche. Icon_minitimeSam 5 Jan - 16:49




Jesse Donavan Cassidy
« Des jours et des semaines, des mois ont passé et puis des années. Je te cherche quand même dans ce royaume où tu m'as laissé. Le long du désert, je sème pour toi ce doux poème. Je t'aime, je t'aime, je t'aime. »



who i am

Bonjour! Je m'appelle Donavan Cassidy - mais mes amis me surnomment Jesse. Je suis né(e) à Woodville le 25/05/1836 et de ce fait j'ai donc 28 ans. Côté coeur, je suis célibataire. J'exerce l'activité de bandit et musicien. J'appartiens au groupe Hors-la-loi. Je suis une personne charmeuse, intelligente, stratégique, active; mais aussi cynique, franche, malhonnête et impulsive. Si j'ai une particularité ou un secret ? Je suis mentalement instable.


this my story

Journal de Therence Cassidy, née Brown
huit octobre mille huit cent trente-cinq

Cher journal,
Aujourd'hui est un grand jour, probablement un des plus beaux de ma vie. John et moi avons enfin trouvé notre maison. Quand nous avions accosté à bord de l'Etoile il y a un mois de cela, je ne pensais pas que le voyage serait si long pour trouver la ville qu'il m'avait promis. Cela m'amène à réfléchir aux raisons qui m'ont fait suivre ce voyage, je crois que je m'étais décidée dès que mon mari m'en avait parlé. Je me souviens, cela s'était passé exactement comme cela, il avait débarqué chez mes parents après une longue réunion d'avec ses collègues de l'école londonienne. Et il s'était déclaré à moi en s'exclamant : "Therence, Therence, il y a après la mer un pays qui se construit, un pays prospère, et ce serait un honneur si vous me faisiez l'honneur de votre main. Nous nous marierons au Nouveau Monde, Therence, nous aurons une grande maison là-bas, et beaucoup d'enfants." Je n'avais même pas pris le temps de réfléchir, je crois. Il y avait cette partie de moi qui me poussait, cette partie aventureuse, celle que je ne pouvais pas vivre dans la riche bourgeoisie de Londres. John m'avait promit le même confort qu'en Angleterre, même mieux. Et je dois dire que je ne suis pas déçue. La ville est pour l'instant en friche, mais elle se construit, il paraît qu'elle s’appellera Woodville. C'est un joli nom. Notre maison est une des seules qui soient terminées, elle est superbe, je n'en ai plus de mots. John et moi y célébrerons notre mariage dans quelques jours. La petite pièce d'où j'écris est magnifique et très lumineuse, elle serait parfaite pour une chambre d'enfant. Je suis sûre d'être enceinte, n'est-ce pas magnifique ? Je suis tellement heureuse, tellement. Je l'ai annoncé à mon époux hier et il a déjà trouvé un joli prénom. Je peux même murmurer à mon bébé son prénom à travers le ventre. Donavan Cassidy.

Rapport journalier de Mary Dilohn, institutrice à l'école municipale de Woodville de 1840 à 1856
dix juin mille huit cent quarante-six


C'est arrivé encore aujourd'hui, pour la quatrième fois ce mois. Je crois que je ne peux plus le garder, il faudrait que j'aille voir ses parents. J'hésite à en parler au shérif. Car ce petit Donavan me fait de plus en plus peur, et pourtant après dix ans d'enseignement j'en ai vu passer des gamins timbrés. Mme Cassidy est la femme la plus respectable de la ville, et M. Cassidy un homme de bonne foi auquel on peut se fier, je ne voudrais pas leur créer d'ennuis. Mais je ne peux plus garder Donavan, vraiment plus.

Cela s'est passé dans le même schéma que l'autre fois, alors que la classe était calmement en train de faire la dictée, je l'ai vu se prendre la tête dans les mains, j'ai cru qu'il réfléchissait mais il s'est levé sans que j'ai le temps de réagir et s'est mit à courir dans la classe en criant comme un fou. Le petit Jim a voulu le stopper, il s'est pris un coup violent avec un objet que Donavan avait dans la main, c'était un colt. Un vrai ! J'étais paniquée, il n'avait jamais été aussi loin. Je lui ai dis : "Lâchez cette arme M. Cassidy." bien fermement. Il a continué à crier comme un fou. Je faisais sortir tous les élèves quand il a pointé son arme sur moi, en me regardant droit dans les yeux, il ne tremblait même pas. Moi si. Je suis sûre qu'il visait ma tête. Et soudainement il l'a lâchée, ses épaules sont retombées et il a regardé autour de lui en me demandant "Où sont-ils tous passés Mme Dilohn ? On n'a pas terminé la dictée. " d'un air perdu, innocent. Puis il s'est rassit et a siffloté devant sa feuille.

Rien que de raconter cela j'en ai des frissons partout. Je n'ai jamais vu rien de pareil. Avant, parfois il se mettait à parler tout seul, ou criait sans raison, piquait des crises de colère, mais ce sont des choses qui arrivent aux enfants, il était peut-être juste désordonné, je savais qu'il ne me ferait pas de mal. Mais aujourd'hui, pour la première fois, j'en ai douté. Il a blessé son camarade Jim, qui saignait encore abondamment du crâne quand je l'ai amené à un docteur. Plus jamais une choses pareille ne devra se reproduire dans cette classe, je m'y refuse.

Je ne peux vraiment pas le garder.

Article paru dans les journaux de Burlington & Woodville
vingt mai mille huit cent cinquante-cinq


LE SCANDALE CASSIDY

Vous avez probablement entendu parler de cette affaire qui a depuis peu secoué la communauté anglaise de Woodville et enflammé même jusqu'à la ville voisine de Burlington. Mais si vous ne connaissez pas encore cette histoire, en voici un résumé agrémenté de quelques nouvelles informations exclusives sur ce sujet qui a choqué une ville entière.
Donavan Cassidy était le fils adoré et parfait de sa jeune mère Therence, héritière de la grande famille anglaise Brown. Destiné également à un grand destin par son père, le plus valeureux de nos ranchers, John, designé avant cette histoire comme futur maire de Woodville. Donavan, à dix-neuf ans, avait été renvoyé de toutes les écoles de la région et prétendait être en apprentissage de la médecine avec un chirurgien à la retraite, non loin de Burlington. Toutefois, en interrogeant les voisins de la famille, j'entendais toutes les horreurs sur ce garçon. Au salon de thé, les femmes ne parlaient que de lui. Il était dit fou, rebelle, indomptable, dangereux même. Quand sa mère entrait, toutes les voix se taisaient, et Therence devait baisser la tête pour ne pas regarder ces gens en face. Allons, citoyens de nos villes, vous vous en souvenez très bien.

Mais revenons sur les faits qui nous ont ébranlé. Ce matin du cinq, il y a quinze jours, Donavan était aperçu en ville. Les chuchotements se firent intenses. A très exactement cinq heures, quand un coup de feu retentit, on découvre son père -paix à son âme- dégoulinant de sang sur le perron, une balle ayant traversé sa tête, l'homme inerte. Devant, lui ressemblant étrangement, le fils Cassidy arborait un sourire, se tournait vers les gens autour triomphalement. Chers concitoyens, j'y étais, moi Stanley Burke, j'y étais. J'ai vu les femmes pleurer autour, j'ai vu Therence de l'autre côté de la vitre, le visage inexpressif, et son fils se volatiliser dans la foule comme un faucon. Personne ne l'a plus vu soudainement. Ce drame plongea -et plonge toujours-, l'entourage de la famille et tous ceux qui les connaissaient, dans la tristesse et l'incrédulité la plus totale.

Les nouvelles informations sur le sujet que nous avons cette semaine sont étonnantes. L'homme, recherché évidemment, aurait été aperçu traînant dans les plaines abandonnées à cheval, mais rien n'est sûr. Il aurait également des contacts avec certains brigands de Midtown, et serait retourné plusieurs fois dans sa maison pour y voler des choses, de la nourriture, un cheval. Visiblement, Mme Cassidy présente l'aurait laissé faire. Nous avons également plusieurs témoignages de médecins, d'hommes de foi et de son ancienne institutrice qui présentent le suspect comme psychologiquement atteint. Les voici : [...] Sa mère reste toujours cloîtrée dans le silence.

Merci à toutes les personnes présentes à l'enterrement de John Cassidy le neuf mai dernier. Paix soit faite à son âme.

Stanley Burke




behind the screen

T'as un prénom tout de même ? Surprised • Ju'
Ton p'tit surnom, c'est quoi ? Shocked • Tweety
Tes crédits • Citation : Jetaimejetaimejetaime (Emilie Simon)
Qui est sur ton avatar ? • Ian Somerhalder
Ton avis sur le forum ? • Je le hais Surprised Razz
Le fameux code du règlement ? Razz • [validé par Jesse Razz ]

FICHE PAR ROMANE

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